Dans une correspondance du Groupe EBOMAF datant de ce 06 mars 2025, et dont la Rédaction de Conjonctures a reçu copie, la Direction de l’information, de la communication, des relations publiques et des publications du Groupe EBOMAF rétablit la vérité sur les allégations d’irrégularités financières auxquelles serraient impliquées les banques du Groupe au Sénégal.
Pour le Groupe, « ces récentes publications de certains médias sénégalais, notamment Confidentiel Afrique et Libération, ainsi que les commentaires relayés sur les réseaux sociaux, révèlent une volonté manifeste de nuire à l’image de son PDG, Mahamadou Bonkoungou ».
Et de poursuivre, « en s’attaquant directement à sa personne, ces acteurs cherchent délibérément à ternir sa réputation et à porter atteinte à ses intérêts. Cette offensive médiatique repose sur des allégations infondées qui, en réalité, ne sont que le reflet d’une manœuvre visant à déstabiliser un entrepreneur dont le parcours exemplaire et la réussite dérangent certains cercles obscurs ».
Nul besoin de rappeler que, « Le succès de Mahamadou Bonkoungou dans le secteur du BTP, son leadership reconnu et la solidité financière de son groupe font de lui une cible pour ceux qui, en quête de sensationnalisme, instrumentalisent des informations erronées. Pourtant, la vérité est claire : les entreprises mises en cause par la Cour des comptes sont IB Bank Burkina Faso et IB Bank Togo, des entités juridiquement constituées, dotées de dirigeants responsables et autonomes », souligne la Direction de la communication du Groupe .
« Ces structures disposent de présidents de conseil d’administration et de directeurs généraux, seuls habilités à répondre des activités desdites institutions. Dès lors, pourquoi chercher à impliquer personnellement Mahamadou Bonkoungou, actionnaire certes, mais non impliqué dans la gestion quotidienne de ces banques ? Cette confusion entretenue volontairement par certains médias et activistes révèle une intention bien précise : détourner l’attention d’un débat économique légitime pour en faire une attaque ciblée contre un individu. Mahamadou Bonkoungou n’est pas visé pour des faits avérés, mais parce qu’il incarne un modèle de réussite africaine », renseigne le Groupe.
Autre détail tout aussi à l’origine de cette cabale, souligne le Groupe est le PDG, Mahamadou Bonkoungou est immaitrisable. Autrement dit, il dérange. Car, « À la tête d’un groupe économique et financier de premier plan, créateur d’emplois et acteur clé du développement, il dérange. Son engagement pour l’essor du continent africain, son ambition de moderniser des secteurs stratégiques et sa contribution au bien-être des populations font de lui une personnalité influente et respectée ».
Pour conclure, le Groupe Burkinabé tient à rappeler que, « Ce n’est donc ni un débat financier, ni une quête de vérité qui motivent cette cabale médiatique, mais bien une tentative de déstabilisation d’un entrepreneur dont l’engagement pour l’Afrique est incontestable. Pourtant, les faits restent les faits : les responsabilités doivent être assumées par ceux qui sont effectivement chargés de la gestion des entités concernées, et non par un actionnaire dont l’implication se limite à un rôle stratégique. Cette manipulation de l’opinion publique ne trompe personne et ne saurait altérer la détermination de Mahamadou Bonkoungou à poursuivre ses ambitions pour l’Afrique et son développement ».
Avec la Direction de l’information, de la communication, des relations publiques et des publications (DICRPP)/Groupe EBOMAF