Le gouvernement gabonais fait flèche de tout bois pour que le pays conaisse une souveraineté énergétique. La stratégie mise en oeuvre par le ministère du Pétrole et du Gaz repose sur un certain nombre d’engagements, de partenariats et de réformes. L’une des dernières détails en date, est la récente signature du Contrat d’exploration et de partage de production (CEPP) “Dinonga-Irondou”. Elle a été actée par le ministre du Pétrole et du Gaz, Sosthène Nguema Nguema et l’Administrateur directeur général de la Gabon Oil Company (GOC), Marcellin Simba Ngabi.
Selon des sources ministérielles, « Ce partenariat stratégique marque une nouvelle étape dans la relance du secteur pétrolier national, avec le redéploiement des champs matures de Tsiengui et Obangué, désormais opérés par la GOC, bras séculier de l’État dans la gestion pétrolière »
Dans ce droit fil, le ministre Sosthène Nguema Nguema, a pour son part indiqué que « cette signature illustre la volonté du gouvernement de replacer la valeur nationale au centre de l’industrie pétrolière ». Cela, conformément à la vision du président de la République, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema.
Quant à l’ADG Marcellin Simba Ngabi, il a salué la cadre qui entoure ce contrat d’exploration. Il s’agit selon lui, d’« un cadre légal clair et rassurant pour une production sereine et durable », a-t-il déclaré. Non sans rappeler « les investissements déjà engagés par la GOC pour moderniser les installations et renforcer la performance opérationnelle des sites ». Faut-il le rappeler, l’objectif principal est d’accroître la production onshore, créer des emplois, et maximiser les revenus de l’État au service du développement national.
Par ailleurs, avec “Dinonga-Irondou”, le Gabon fait un pas décisif vers une véritable souveraineté énergétique, celle d’un pays qui produit pour lui-même, par lui-même, et pour les générations futures, renseigne-t-on.




















