Dans ce texte, le souscripteur envisage de léguer son patrimoine et ses biens à ses proches et amis en cas de décès. Il exprime le souhait de transmettre notamment ses biens immobiliers au Gabon ainsi que d’autres situés à Londres à ses deux fils, Jean Philipe et Edouard Bongo.
Par ailleurs, il désigne Gagan Gupta comme exécuteur testamentaire dans ce même document. Enfin, il stipule que si son épouse, Léa Bongo, venait à décéder également, la responsabilité de la garde de ses biens et de leurs enfants incomberait également à ce dernier.
Cependant, des sources judiciaires soulignent que ce présumé document suscite de nombreuses interrogations. En effet, il ne comporte ni date, ni signature, suscitant légitimement des doutes quant à sa véracité. Il convient donc de se demander quelles intentions se cachent derrière la divulgation de ce document, vraisemblablement malveillant.
Cette manifestation de faux ne semble pas fortuite, mais plutôt élaborée dans le dessein de porter atteinte à l’image de l’homme d’affaires, notamment en raison de ses liens passés avec l’ancien régime.